Pourquoi avant 40 ans ne sommes nous pas alcoolique !

À l’instant où je débute l’écriture de ces quelques lignes, un verre de vin blanc à la main, installé confortablement dans un fauteuil d’une petite taverne rustique, les vapeurs d’alcool embaument l’atmosphère et j’enivre ma pensé, réfléchissant comment vous démontrer que tant que nous n’avons pas 40 ans, nous ne sommes pas considérés comme alcoolique.

A contrario de l’opinion publique qui considère qu’il s’agit d’un vice de société, la jeunesse de moins de 40 ans ne semble pas pouvoir être affectée par cette phénoménalisation. Généralement, on considère qu’il y a alcoolisme dès lors que l’on boit chaque jour ou bien à partir de l’instant où une personne a besoin d’une grosse biture par semaine. Mais cela ne concerne pas les moins de 40 ans.

Pourquoi ? Trois séries de raisons nous paraissent pouvoir être avancées :

Tout d’abord pour des raisons évidentes, après 40 ans, c’est tout simplement de votre santé qu’il est question. Tous les spécialistes sont d’accord ! Notre foie et le reste du corps dépassé un certain âge n’ont plus les mêmes capacités de récupération… Toutefois, il s’agit là d’un argument à lui seul insuffisant… Qui sait si l’alcool, la cigarette, la voiture ou bien un fou dangereux ne vous tuera pas demain ?


Ensuite, il faut bien l’avouer, le temps de la diabolisation de l’alcool est résolu. Aujourd’hui les occasions ne manquent pas pour aller boire un verre en terrasse, chez des amis ou tout simplement inviter de la famille à diner. Au final, lorsque l’on a moins de 40 ans, chaque jour de la semaine peut se transformer en bonne occasion pour trinquer. Tandis qu’après 40 ans le plateau TV, la tisane et le début des rhumatismes sont de rigueur.

Précisions toutefois qu’il va sans dire que l’âge de 40 ans reste approximatif. Il est vrai que parfois, dès 38 ans les premiers symptômes de cette pathologie peuvent se faire ressentir.

Enfin et pour conclure, rendons-nous à l’évidence, un groupe de trentenaire en terrasse qui déguste un spritz apérol, un mardi à 15 heures est le reflet de la convivialité et de la jovialité. En revanche, un groupe de sexagénaire en train de siffler un Ricard au bar un lundi matin à 9h renvoie l’image inverse.

Mais tout est relatif… À la vôtre !

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