Le WaxBuyers’Club la Box qui fait du bien à vos oreilles

Une Box à recevoir chaque mois avec pour seul mot d’ordre : la musique. C’est ce que vous propose le Wax Buyers’Club, un nouveau concept qui vous permet de recevoir chaque mois un vinyle en édition limitée.

Pour un simple abonnement mensuel, vous recevrez chaque mois un nouveau vinyle, en édition limitée, numéroté et d’un label indépendant, finement sélectionner afin de vous émerveiller. C’est ce que vous propose Édouard Fontaine, le fondateur du Wax Buyers Club, avec ce nouveau concept de box « musical vinyle ».

« Un disque vinyle par mois, livré directement chez toi. C’est le pitch. On avait aussi Enlarge Your Vinyl Collection, mais c’est too much non ? L’idée c’est bien de pouvoir faire découvrir des grands albums, assez méconnus le plus souvent. Non pas à cause de leur qualité parce qu’ils n’ont pas profité de la force de frappe d’un major, sur un support qu’on adore : le disque vinyle. » Nous explique, Édouard, fondateur du WaxBuyes Club.

Un concept unique qui privilégie la qualité :

Pour s’inscrire rien de plus simple, rendez-vous sur le site pour demander votre invitation. Chaque vinyle étant en édition limitée et exclusive aux box, vous recevrez un email dès qu’une nouvelle place sera disponible ! Et ne vous en faites pas, les invitations arrivent toujours.

Pour le prix, 23€99 frais de port compris, pour lequel vous recevrez chaque mois un disque vinyles édités en éditions limitées. C’est aussi des contenus exclusifs qui viendront accompagner la découverte musicale offerte avec très grand soin.

WaxBuyersClub

Édouard Fontaine nous partage sa passion :

« Les disques vinyles qui sont envoyés à nos abonnés sont toujours édités en éditions limitées, sont des first press le plus souvent. Avec ça, les abonnés sont gâtés : ce mois-ci, ils ont reçu une flexicard non destinée à la vente. Un vrai objet de collectionneur. En janvier, Jenny Lysander a dédicacé une aquarelle pour nos abonnés. En décembre, le label leur a offert un tote-bag. Ils ont aussi accès à notre boutique en frais de port gratuits, avec des vinyles, des accessoires, des platines à tarif préférentiel. Et puis, les disques que l’on envoie ne sont pas seulement bons, ils sont beaux : pochette gatefold et vinyle de couleur le plus souvent, pochette intérieure imprimée et dl-card à chaque fois et pour protéger leur disque des outrages du temps il est livré avec une pochette de protection et tamponné par le Wax Buyers Club. 

Enfin, on leur envoie chaque mois une newsletter bourrée d’actus sur le vinyle et avec une Playlist sur spotify et deezer. Parce que bon, le vinyle en voiture ou dans le bus ce n’est pas hyperpratique… 

Et ah oui, on a commencé à travailler avec les labels sur des pressages exclusifs. Ce n’est pas bien ça ? »

Et lorsqu’on lui demande les genres musicaux qui inspirent le contenu pour les abonnés, il nous répond en toute franchise : « De tout ! Je pense ceci dit qu’on ne fera jamais de classique, notamment parce que je connais mal cette musique et bien qu’adorant le Free Jazz c’est une musique assez hermétique. Depuis le début (waxbuyersclub.com/archives) on a fait de la cold wave, du garage rock, de la world, de la pop, de l’électro, du HipHop, du Jazz, du rock encore et du folk. Manque le reggae non ? Ça arrive. 

On fait bien sûr attention à renouveler les genres, mais le plus important reste la qualité de l’album. Il faut qu’il soit excellent. Récent ou non, simple ou double, sur un vinyle coloré ou noir ça viendra après. Le LP doit être excellent et le pressage qualitatif. »

vinyle passion buyers club

Alors, vous avez été séduit par le concept de la Box Vinyl ? Totalement unique, la vente en ligne par abonnement de disques édités par des labels indépendants. Une nouvelle façon de découvrir la musique, comme jamais !


Le Wax Buyers Club est là pour vous partager des découvertes qu’ils adorent. C’est une véritable passion que vous pouvez même suivre sur le Blog ou via la page Facebook.

Et pour en savoir plus, découvrez l’interview complète d’Édouard Fontaine, le fondateur du WaxBuyers’Club.

Rencontre avec Édouard Fontaine :

Comment le projet est-il né ?

« En septembre 2014, on a l’idée. En janvier 2015, le site est lancé et le 5 février 2015 on envoie nos premiers vinyles. C’est aller assez vite en fait, d’autant que la seule chose que je connaissais de l’industrie musicale à ce moment c’était les bacs de mon disquaire de quartier. 

Je me suis souvenu d’un truc que mes parents avaient quand j’étais gosse, le club DIAL ça te parle ? Mes parents recevaient chaque mois 3-4 CD et je trouvais ça vraiment cool. J’ai commencé à chercher si ce service qui n’existe plus depuis bien longtemps existait pour les vinyles… et effectivement ça existe, mais aux États-Unis et ça s’appelle le Vinyl Me Please. Ce qu’ils font depuis 4 ans maintenant est vraiment génial, mais voilà, si tu t’abonnes pour la France ça fait une galette à 40€. C’est très cher. Le Wax Buyers Club c’est 23,99€, frais de port compris. 

Alors puisque ça n’existait pas vraiment en France et bien j’ai décidé de le faire ! »

Pour quelqu’un qui n’a jamais connu le Vinyl, que lui dirais-tu pour l’inciter à découvrir cet univers ?

« Que ce n’est pas pratique et plus cher que le streaming ! Plus sérieusement, il suffit de poser sur une table une clé USB, un CD et un vinyle : dans 100% des cas, la personne prendra le vinyle en main. C’est tellement plus sympa à manipuler et à écouter. Tu choisis un disque, pose le disque sur la platine et hop tu décolles. 

En général, un collectionneur de vinyle sera en mesure de dire où, quand et à quelle occasion il a déniché tel ou tel disque. Bref, c’est un objet que l’on regarde, conserve et transmet à ses enfants. Tu te vois léguer un disque dur à tes enfants ? » 

Quelle est ta vision sur la revalorisation de l’écoute de la musique sur Vinyl ?

« C’est partagé. D’un côté le temps où tu pouvais trouver des vinyles facilement et pas cher en vide-greniers me manque, mais de l’autre c’est vraiment sympa de pouvoir trouver tout ce qui sort aujourd’hui en vinyle. Et si plus de monde écoute du vinyle, et bien, ça fait plus de monde avec lequel échanger sur ma passion ! 

Ceci étant dit, faudrait que les majors fassent attention à ne pas tuer le retour du vinyle dans l’œuf. Je vois arriver aujourd’hui des tarifs à 27€ HT (c’est à dire au moins 36-38€ pour le client final) en provenance des majors pour des disques qui ont été vendus à des dizaines de millions d’exemplaires et que tu peux trouver à 5€ sur discogs.com ! Non seulement ces prix risquent de dégouter les jeunes acheteurs qui n’ont pas un budget énorme, mais en plus ces repress massifs empêchent les petits labels de presser pour leurs artistes. 

Mais dans l’ensemble, quel plaisir de voir les bacs des disquaires remplis de vinyles ! En plus, conséquence directe de ce renouveau, on trouve des platines neufs, hifis et pas chers très facilement. Quand tu vois comment les REGA RP1 et Project Elemental sonnent, c’est super ! »

Quels sont les genres musicaux qui t’inspirent le plus ?

« Franchement, j’écoute de tout. Bien que je sois totalement inculte concernant la musique classique, les opéras et le baroque. J’ai un tropisme assez marqué vers le Hip-hop, le Jazz et la Soul, mais j’ai comme tout le monde des phases plus rock, reggae, world ou folk. Miles Davis est un dieu vivant et Robert Plant le meilleur chanteur du monde. 

Le truc en fait, c’est qu’un bon album reste un bon album, quel que soit le genre. Regarde les incontournables : qui peut franchement dire que Kinf Of Blue de Miles Davis, L’I de Led Zeppelin ou Illmatic de Nas sont de mauvais albums ? Personne. 

Te cantonner à un ou deux styles te fait passer à côté de tellement de grandes œuvres… mais il faut parfois y revenir à 2 fois. 

Une anecdote par exemple sur le Wax Buyers Club : l’abonnement le plus souvent choisi par nos abonnés est l’abonnement mensuel qui est sans engagement. Chaque mois, quelques jours après la réception de leurs disques quelques abonnés se désabonnent. Je suppose que c’est parce le disque du mois ne leur plait dans la plupart des cas. C’est normal et c’est le jeu : c’est impossible de plaire à tout le monde tout le temps. Et bien, chaque mois également, certains d’entre eux reprennent un abonnement au motif qu’ils ont réécouté le disque du mois et que finalement… le disque leur plait ! 

Un grand disque doit souvent s’apprivoiser et mérite plusieurs écoutes. »

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